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Lilian Thuram a bien préparé ses éléments de langage, toute l'affaire qui concerne sa bruyante séparation avec son ex-compagne Karine Lemarchand qui l'accuse de violences est résumée en un mot : "surréaliste". Mais que dit son corps qui peut plus difficilement être travaillé ?
A la lecture générale des propos de l'ancien footballeur (voir VIDEO), les émotions qui prédominent sont la colère (sourcils souvent froncés) et la surprise (haussement des épaules et des sourcils caractéristiques), ce qui plaide plutôt en sa faveur.
La partie gauche de son visage (qui renvoie à l'intériorité émotionnelle) semble plus détendue que sa partie droite (qui renvoie à ce que l'on projette de soi, c'est l'image sociale). Cela signifie qu'il y a une tension qu'il ne cherche visiblement pas à cacher puisqu'elle s'exprime sur cette partie là, tandis que la partie plus intime ne cherche pas à dérober des émotions. Ce qui plaide encore en sa faveur.
Les positions des mains en couteaux fermés, position très classique (doigts entrelacés et posés sur chacun des dessus de la main) n'apprend guère, mais le soulèvement des pouces signe que le "je" de l'ego ne veut pas se laisser faire. Il n'est pas en position basse. Ce qui pourrait encore plaider pour lui.
"Les gens ne font pas parfois la part des choses, il faut t'expliquer." lui conseille-t-on. Une langue de délectation survient, signifiant qu'il est à l'aise avec cette idée. Encore un point positif pour lui.
"il faut rétablir la vérité" et "je n'ai jamais été violent et je ne le serai jamais" sont assortis d'un haussements d'épaules rapides. Trop long, il remettrait en cause la sincérité du propos en traduisant de l'incertitude.
De certitude, en #synergologie, nous ne pouvons jamais en avoir. Il faudrait voir des images de Karine Lemarchand dans un contexte d'interview dédié au sujet pour compléter. Or, on n'en trouve pas...
Lilian Thuram et sa version des faits au Grand Journal de Canal+ le 17 octobre 2013.